On est en plein jour et je me balade en nature, non loin de là se trouve une zone à drague. J'y vais faire un tour au cas où. J'y croise quelques mecs qui ne sont pas mon style, puis j'aperçois un mec jeune assez grand fin couleur café au lait. Il attire bien entendu mon attention, il est mignon, a une belle silhouette, un beau postérieur, et sa couleur de peau lui va à ravir. Il s'éloigne de la zone à drague, et je décide de le suivre. Il s'arrête pour fumer. On se tourne autour. Au bout de quelques minutes, il se met dans un endroit discret en contre bas. Je le suis doucement, et je m'arrête près de lui et j'engage la conversation. Il a le même âge que mon petit frère. Nous discutons plusieurs minutes, presque une demi-heure. Je remarque que je discute de plus en plus avec mes plans d'un jour, alors qu'avant je ne parlais jamais ou très peu, c'était direct baissage de pantalon. Son jeans lui va très bien, il met en valeur son petit cul et son entrejambe. Après nos échanges verbaux, je décide d'attaquer, et je lui caresse les fesses et lui tâte le paquet, il en fait de même. Nous déboutonnons nos pantalons, et je sors sa teub. Très belle teub, cette fois je ne suis pas déçu: très joli morceau que je vais m'empresser de goûter. Ça me fait toujours un peu bizarre d'avoir une relation sexuelle avec un mec qui a le même âge que mon petit frère, parce que comme il a le même âge ça veut dire que j'aurais pu lui donner le biberon à ce mec quand il était tout petit, alors que c'est tout autre chose que je vais lui donner à téter: il va bouffer non pas un biberon mais ma teub. On s'occupe uniquement de nos teubs, on ne s'embrasse pas, on ne se caresse pas, je me régale de sa bonne teub, c'est pas tous les jours que j'en ai sous la main des comme ça! Il se branle devant ma bouche en touchant ma langue et mes lèvres avec son gland , et il s'écarte pour cracher sa purée, joli moment.

M'inspirant de ma rencontre de l'autre jour, je décidais de me lancer dans la cueillette de mures. J'enfourche mon vélo et je pars vers la campagne, sac sur le dos. Il y a de belles mures, mais quelqu'un est passé il y a quelques jours puisqu'il n'y en a pas des masses. Je mets les mures récoltées dans une bouteille d'eau vide d'1,5 litre, puisque c'est plus facile à transporter dans le sac à dos. Au final, j'obtiendrais un volume d'un litre de mures. Arrivé chez moi, je ne perds pas une seconde: je me lance dans la préparation de la gelée de mures. J'avais préalablement acheté tout le nécessaire. Il faut une balance, du sucre spécial gelée, une passoire, un ou des bocaux vides. Tu salis une casserole pour cuire les mures. Tu salis la passoire pour extraire le jus et écraser les mures... bref ça fait de la vaisselle. Au final, à partir d'un volume d'un litre de mures, je n'ai obtenu qu'un verre de gelée: tout ça pour ça! Tu te fais chier à ramasser de belles mures dans les ronces (forcément tu vas t'égratigner ou toucher des orties à proximité, ou saloper ton tshirt... bref tu es obligé d'avoir des séquelles, c'est obligé à 100% d'avoir au moins une égratignure quelque part), tu salis plein de trucs et tu obtiens le précieux produit (la gelée) dont le prix avoisine pratiquement celui du caviar. Mais quel bonheur de manger quelque chose que tu as fait toi même de la récolte à la production... et puis ramasser les mures ça passe le temps et tu es en nature.

Je l'avais aperçu une semaine auparavant sur le sentier, il partait de cet endroit de campagne peu fréquenté, où se trouve quelques petits endroits composés de galets et de roches uniquement, pour bronzer près de la mer. Un sentier boisé très vert et de petits chemins abandonnés permettent d'accéder à ces endroits peu accessibles. Il est superbe, un beau brun fin, musclé comme il faut, superbe silhouette. Je le connais pour avoir déjà consommé avec lui il y a un an dans un de ces endroits cachés. Il a exactement cinq ans de plus que moi, il fait beaucoup moins, j'espère paraître aussi jeune et aussi bien foutu dans cinq ans. Aujourd'hui je le recroise de nouveau et je décide de ne pas le laisser s'échapper, il cueille des mures. Je l'aborde, il se souvient de moi, au début il me vouvoie, je caresse ses bras musclés pendant qu'il est affairé à cueillir ses mures dans les ronces. Il me dit qu'il va tous les soirs en salle faire du sport, ça se voit. Je discute avec lui, ma timidité n'existe plus. Au bout d'un quart d'heure de cueillette, de bavardage, et de caressage parce que je lui caresse les fesses, les bras, le torse... pendant qu'il cueille ses mures, je décide de passer aux choses sérieuses. Je lui propose un autre fruit plus gros et totalement différent: je lui sors ma teub déjà bien turgescente. Il me regarde dans les yeux, et me dis "tu as gagné en assurance depuis l'an dernier, tu es moins timide". En effet, l'an dernier je ne lui avais pratiquement pas adressé la parole et je faisais ma princesse, tandis que là je l'aborde et je lui sors ma teub dans le petit chemin étroit entre des ronces et des buissons. Il fixe ensuite ma teub et la dévore des yeux avant de l'avaler au sens propre, il m'embrasse et alterne les pompages. "On dirait qu'elle a été lustrée" me dit-il. Puis il se positionne derrière moi et me fait un bouffage suivi d'un doigtage prostatique, parallèlement à cela il m'embrasse et m'astique le zgeg jusqu'à ce que je balance mon foutre d'une blancheur éclatante dans cet endroit très vert. Il m'embrasse de nouveau langoureusement. Puis nos chemins se séparent, et il se dépêche de rentrer chez lui et se lance dans un footing puisqu'il est venu à pied et parce que sa copine ne va pas tarder à rentrer du travail.

"On s'est déjà vus, je suis bien équipé...". Voilà les premiers mots qu'un mec qui me tournait autour est venu me dire alors que j'étais sur le point de partir de cet endroit de nature avec des arbres où l'on croise parfois des mecs gays. Je lui dis qu'il se trompe, et que je n'ai jamais rien eu avec lui, j'ai une très bonne mémoire visuelle (surtout pour les mecs avec qui j'ai eu une relation sexuelle) donc je ne me trompe pas. Il poursuit sa conversation et bien entendu nous marchons, nous allons vers des endroits plus abrités, nous sommes en plein jour et il y a promeneurs qui sont là, il faut donc redoublé de prudence. Nous trouvons un endroit à l'abri des regards indiscrets, et on déballe la marchandise. Il ne m'a pas menti, il est bien équipé. Il a faim de qu*ue aussi. Arrive le moment du jutage. Il me dit "je veux ton jus". Je pense qu'il est barge de faire ça mais après tout si il le veut, je le préviens quand ça va venir et il prend ma teub en bouche et l'astique jusqu'à ce que je crache mon foutre dans sa bouche chaude, il prend tout dans la bouche (PS: ne faites pas ça!! c'est risqué), puis recrache le gros volume blanchâtre en une fois, puis j'ai une goutte de sperme qui ressort de ma teub, et il l'avale sans la recracher et me nettoie la teub avec sa bouche. La réciprocité ne sera pas vraie, je ne prends pas dans la bouche, mais je regarde les jolis jets de foutre accompagnés de gémissements de mon partenaire d'un jour.

La fin de l'été approche, dans une dizaine de jours c'est officiellement l'automne, les serviettes de plage et les shortys de bain vont bientôt être de nouveau rangés dans l'armoire. L'été a été trop court, mais j'en ai profité: bronzage et conquête(s) d'un jour ont agrémentés mes après-midi plage, comme vous avez pu le lire parfois sur ce blog. Beaucoup de relations d'un jour mais pas de rencontres magiques pour plus que du c*l (l'été dernier j'avais fait une belle rencontre: mon parisien). J'aurais bien aimé que ça se poursuive un peu encore. Ça va être épouvantablement long d'attendre neuf mois afin de retourner à la plage. Je me suis tapé beaucoup de mecs, mais au final je suis bredouille. Je me suis rendu compte que je ne cherche pas un mec... Pourquoi? Parce que j'ai toujours dans mon viseur un mec en particulier... mon fameux collègue de travail que je kiffe grave. On se rapproche amicalement et c'est déjà beaucoup, le truc que j'ai compris avec lui c'est que je ne dois pas  brusquer les choses, mais aller doucement et le mettre en confiance afin qu'il gomme une image de moi faussée d'hétéro et de citadin préférant la ville à la campagne.

Le temps n'est pas prévu très estival pour cet après-midi, mais je trouve le temps sympa pourtant, ce qui me permet d'envisager une plage. Je me renseigne sur le site de météofrance afin de savoir sur quelle plage le temps sera le mieux et le plus chaud. Je prépare mes affaires et je me casse pour un trajet de plus de trois quart d'heure. Je m'arrête faire de l'essence, la pompe me dit merde, j'ai beau taper sur les touches elle fait comme si je n'étais pas là. Je me barre de cette station à la con, je m'arrête à quelques mètres près de conteneurs de recyclage, pour y déposer un sac rempli de fringues dont je veux me débarrasser. C'est une benne emaüs, il faut avoir la poignée de la trappe vers soi pour pouvoir y déposer son sac, je la ramène donc vers moi et voilà que plein de flotte tombe sur moi!! De la pluie s'était accumulée, et je suis le couillon à l'âme charitable qui pense à son prochain en donnant mes fringues qui s'est fait arroser. Cet endroit est maudit, je décide suite à ces micro-événements contrariants et en voyant le ciel qui me paraît douteux vers où je vais à la plage, de faire demi tour et de rentrer chez moi, je m'arrête entre temps à une autre station. Et puis après avoir fait le plein je change encore d'avis et je vais à la plage prévue (parfois je suis du genre indécis!). Je suis arrivé, le temps est conforme aux prévisions "quelques éclaircies", j'espère donc me taper un mec à défaut de parfaire mon bronzage. Il n'y a pas grand monde. Je croise le militaire de passage dans la région avec qui je me suis amusé il y a quelques jours sur cette même plage, je sens qu'il aimerait remettre ça, mais comme disait récemment une candidate de Secret Story: "quand j'ai gouté un gâteau, j'en veux plus", bref je préfère faire éventuellement quelque chose avec quelqu'un de nouveau plutôt que de jouer les rediffusions. Je vais marcher plus loin en lui disant à tout à l heure peut-être. J'ai quand même envie de sexe, je décide donc de partir de cette plage pour aller sur une autre du même style à dix minutes d'ici en voiture. En prenant la direction du parking, j'aperçois mon militaire dans les dunes à un endroit où il y avait deux mecs tout à l'heure, ça avait l'air d'être un couple sage d'après ce que j'avais vu tout à l'heure en passant. Je décide donc de m'arrêter un peu plus loin et d'y installer mes affaires, je vais rester sur cette plage un peu pour voir ce qu'il se passe. Je vais ensuite vers là où j'avais aperçu mon militaire. Ils sont trois, un assis qui est sage, l'autre allongé nu et le militaire lui tient la teub qui est en érection. Je suis jaloux, mon militaire a réussi un joli coup, ces deux mecs me paraissaient inaccessibles. Je me sens frustré, et à la fois j'ai envie d'en voir plus sans pour autant faire le mec voyeur qui dérangerait leurs ébats. Ils sont déjà trois, j'ai peur d'être de trop, je n'envisage donc rien hormis d'essayer de regarder en passant parce que dans ce trio il y a un mec qui est incroyablement beau, une bombe atomique qui mériterait largement de figurer dans la catégorie "plaisir des yeux" de ce blog. Un brun cheveux court superbement bien foutu, superbe silhouette, super sourire ravageur, joli corps musclé, belle peau et des yeux bleus à faire tomber (un brun aux yeux bleus: mamamia!). Je fais quelques passages à proximité, mais pas trop pour pas être lourd. Il y a aussi un surfeur pas trop loin sur sa serviette, comme ça si le trio m'aperçois je fais mine de matter le surfeur, mais je m'en fous du surfeur. Puis je reste regarder ce que fait le trio, je m'accroupis à trois mètre d'eux. Le superbogosse est allongé au centre et il fait l'objet de toutes les attentions. Il se fait p*mper par le militaire. le troisième mec me voit mais ne s'arrête pas, il se br*nle. Le militaire m'a vu aussi, mais il continue. Puis le bogosse me voit et ça ne le dérange pas non plus, il me sourit... je fais donc un petit signe timide de la main pour demander si je peux venir... il me répond par un signe de la main et de la tête qui sont positifs. Voilà, nous sommes quatre (c'est rare pour moi, le plus souvent c'est trois). Le bogosse me dévore des yeux, moi je suis un peu intimidé par son extrême beauté, mais je p*mpe son poireau bien dur, il me fera la même chose ensuite. A quatre il y a de quoi faire, je ne vais donc pas rentrer dans tous les détails. Nous sommes à plusieurs reprises interrompus par des passants (des voyeurs), et nous stoppons alors nos ébats à chaque fois. Le surfeur se lève pour regarder le trio et il s'aperçoit que nous sommes maintenant quatre, il fait une de ces têtes, il n'en revient pas! A un moment, je p*mpe le militaire, et le bogosse p*mpe le troisième mec. Puis alors que je suis à quatre pattes en train de p*mper le militaire, je vois le bogosse qui vient derrière moi et il commence à me bouffer le c*l. J'entends ensuite quelqu'un qui sort des trucs, des capotes. Je devine donc les intentions du bogosse, bien entendu j'autorise un mec comme ça à faire tout ce qu'il veut de moi (safe), je me sens soumis et j'aime ça et l'idée même de l'acte qu'il veut me faire (m'enc*ler) m'excite à un point tel que je suis obligé de freiner une main qui me br*nle en même temps au risque de jouir trop vite. Nous sommes interrompus par un passant, on cache nos sexes, et attendons deux trois minutes sans rien faire pour qu'il comprenne qu'il faut qu'il parte. Nous reprenons, cette fois le troisième mec veut passer aux choses sérieuses avec le bogosse et il enfile une capote et met du gel, c'est donc le bogosse qui va passer à la casserole et il se laisse faire, quelle polyvalence ce mec. Le bogosse est à quatre pattes et se fait pénétrer en levrette, puis il s'assoit sur le mec et se soulève de haut en bas sur le sexe du troisième mec, le militaire p*mpe alors le bogosse qui se fait enc*luer tandis que j'embrasse et caresse le bogosse. Quel moment torride je suis en train de vivre avec ce bogosse qui se laisse faire et enchaîne même plusieurs positions, il se met ensuite allongé sur le dos, et le troisième mec le pénètre de nouveau, le bogosse a toujours sa teub hyper dure et se fait br*nler par le militaire tandis que moi j'occupe l'autre trou du bogosse en me faisant p*mper. Le bogosse sent que ça va rapidement venir dans cette position, ça ne m'étonne pas, quand je me faisais prendre autrefois dans cette position ça me faisait la même chose parce que la prostate est vachement stimulée. Il se fait limer et il jouit un peu partout sur son torse avec la main du militaire qui l'astiquait en même temps. Puis le militaire jouit sur le côté sur le sable (en bon militaire il crache sa purée sur le côté et non pas sur le mec!), puis le troisième mec (l'enc*lueur) qui a enlevé sa capote, se branle et vient cracher sa semence sur l'épaule droite du bogosse et sur le sable, tandis que moi j'enchaine en giclant ma semence sur l'épaule gauche et le coté gauche du torse du bogosse. Comme à chaque fois que tout le monde a joui et qu'il y a un mec qui porte les traces blanches et visqueuses de nos liquides de mâles sur son corps, nous sourions et rigolons un peu, j'ai remarqué que c'est quasi systématique. Quelle quantité de sperme... je ne sais pas combien de millilitres ça faisait au total, mais nous avons balancé ce qu'il fallait, c'était pas des petites rations, c'était comme on dit un bon vidage de co*illes collectif. Nous discutons avant de nous séparer, le militaire me rejoint à ma serviette et il rentre avec moi au parking. L'événement de ce jour, ce n'est pas vraiment ce plan à quatre, mais c'est surtout ce super bogosse qui est une vraie bombe atomique qui fait partie du pool des plus beaux mecs que je me suis tapé dans ma vie, ce mec est beau mais c'est un truc de malade je vous jure. L'été n'est pas fini, mais c'est déjà l'été le plus explosif niveau sexe que j'ai vécu, je n'ai pas compté mais c'est un nombre à deux chiffres, je pense que je me suis tapé entre trente et quarante mecs depuis juin, vivement que je me trouve un mec pour du sérieux quand même.

J'ai récemment passé quelques jours dans une grande ville qui était pleine à craquer, des touristes partout. Cette ville est un classique, j'y suis allé de nombreuses fois: avec mon ex mari, avec des amis, avec mon parisien... bref je vois et revois cette ville avec des personnes différentes, les monuments restent les mêmes tandis que mes accompagnateurs changent. Cette fois-ci c'était avec un ami, la prochaine fois sera sans doute avec quelqu'un que je ne connais peut-être pas encore. Certaines rues ou certains monuments me rappellent des personnes avec qui j'y suis déjà allé. Il y a quelques évolutions, en un an le pont des arts traversant la Seine devant le Louvre s'est transformé en pont des cadenas: joli phénomène. Les amoureux symbolisent leur amour en y accrochant un cadenas aux grilles du pont, cadenas sur lequel ils auront préalablement inscrit quelque chose (leur prénom...), chacun des amoureux gardent ensuite une clé du cadenas, j'imagine les moments romantiques qui se sont déroulés et se dérouleront encore sur ce pont piéton, et j'adorerais passer un tel moment avec un mec dont je serais fou amoureux. En voyant toute cette foule dans la ville, et surtout tous ces mecs, je me dis que je devrais quand même me bouger pour trouver un mec, il y en a bien un qui pourrait me convenir. Cela fait un moment que je n'ai pas fait de rencontre sérieuse, près d'un an je crois. Je me suis contenté de chair en multipliant les partenaires d'un jour: c'est plus facile et moins stressant pour moi d'avoir une relation sexuelle sans lendemain avec un mec que de m'investir dans une drague constructive et romantique pour une relation sérieuse... mais le fast-food ça va un moment, un bon restau classe et sérieux c'est quand même mieux. Il y a bien sûr cette attirance pour mon collègue de travail, je n'ai pas encore fait une croix sur lui, j'écrirais prochainement un article sur lui, le parcours me semble semé d'obstacles, mais aujourd'hui je me dis que je vais regarder ailleurs aussi, je ne vais pas tout miser sur le même cheval ce serait une grave erreur. En dehors de tout ça, j'ai vu de très beau spécimens... des types de mecs dont je n'ai jamais gouté: je pense particulièrement à de beaux jeunes espagnols et à un beau touriste brésilien dans un transport en commun, il faut dire qu'à la base j'ai un faible pour les bruns, c'était vraiment un plaisir des yeux en live.

Les plans improvisés en été en nature ne doivent pas faire oublier les bases du safe sexe, en particulier les deux messages indiqués sur le dessin ci-dessus... de plus, soyez prudent en ce qui concerne l'endroit où vous pratiquez, baiser en nature dans un domaine public est en effet interdit donc si vous vous faites prendre vous vous faites embarquer (bref soyez discret!)

Encore à la plage, une plage gay bien sûr. Pas la même que la dernière fois. J'ai envie de me reposer aujourd'hui et être au calme, je vais donc assez loin pour être peinard. Je vais quand même me promener, je laisse mes affaires parfois plus de trois quart d'heure sans surveillance, un jour on me volera mon sac, mes clés et ma voiture. Je n'ai pas spécialement envie de faire quelque chose de sexuel, mais je regarde ce qu'il se passe dans les endroits susceptibles d'être le théâtre de jeux entre mecs. Un couple de jeunes mecs avec toutes leurs affaires s'en vont, ils sont bien équipés ils ont même un petit parasol (ce qui me fait sourire parce que je n'ai jamais vu de jeunes avec ça jusqu'à présent). Ils me regardent, ils doivent penser que je suis à la chasse et au lieu de continuer leur chemin ils s'arrêtent à plusieurs reprises dans des recoins, et attendent et jettent un œil sur moi pour voir où je vais. Et voilà, je sens le truc gros comme une maison, je vais sans doute me taper un énième plan à trois. Mais je suis pas plus motivé que ça, j'ai évacué mes pulsions la veille avec un jeune mec (voir ici), donc je ne vais pas tout mettre en œuvre pour que le plan se réalise, il faut que ça vienne d'eux, même s'ils sont mignons et jeunes. Après plusieurs minutes de jeu du chat et de la souris, ils s'isolent entre de hautes herbes en hauteur d'une dune. J'attends quelques instants qu'ils s'installent, un des mecs s'est mis totalement à poil et se met debout de sorte que je vois sa teub qui est déjà en pseudo érection. Bon allez j'y vais. L'endroit où ils se sont mis est minuscule, mais discret. Un petit "Salut...ça va?..." puis le mec nu, qui a la même voix qu'un jeune mec de ma direction (voix charmante) dit "On peut s'amuser un peu si ça te dis". Et c'est parti, vous imaginez la suite. Je me suis occupé du mec à poil, puis l'autre mec s'est dessapé et m'a offert son machin circoncis, on s'est occupé de moi, un des mecs m'a fait un bouffage puis m'a dit "J'ai une capote si tu veux", invitation que j'ai décliné en prétextant que c'était chaud ici avec le risque de passage, mais en fait j'ai les boules de me faire de nouveau pénétrer, ça fait un moment que je n'ai pas pratiqué et à quelques jours d'un trajet longue distance de plus de 500 km je n'ai pas envie d'avoir mal là où vous savez. Puis nous sommes tous les trois à genoux avec nos teubs entre les mains, et un des mecs proposent que l'on finisse comme ça, il enlève la serviette qui avait été mise au centre, et nous déversons nos semences l'un après l'autre. Je leur souhaite une bonne soirée et je me casse direct à l'eau me baigner. A choisir je préfère le faire avec deux mecs qui ne se connaissent pas plutôt qu'avec deux mecs qui sont en couple, il se passe plus de choses dans le premier cas (c'est plus bestial), tandis que dans le second cas les deux membres du couple feront moins de chose l'un envers l'autre (sans doute parce qu'ils se connaissent déjà par cœur et ont l'habitude) leur attention se dirigeant essentiellement vers le troisième partenaire d'un jour (ce qui est bien aussi certes mais c'est bien aussi de voir deux mecs se faire des trucs aussi, ça rajoute de l'excitation :P ). Bref un énième plan à trois, ça devient la routine, et comme vous vous en doutez je n'écris pas tout ce que je fais à deux ou à trois... bref ça commence à faire beaucoup, surtout ces temps-ci, j'ai envie d'être plus sage et de résister davantage à la tentation (ou du moins d'espacer ces plans chauds).

Parfois il fait beau en ville et quand j'arrive à la plage, le temps est différent: bref quand ça arrive ça sent l'après-midi loose! Sauf que sur ces dunes (les mêmes que la dernière fois), on peut toujours avoir des surprises. Je cherche une bonne place sympa pour m'installer même si je sais que je vais pas rester longtemps vu la couleur du ciel. Un jeune mec marche un peu plus loin, j'ai l'impression qu'il part déjà, il a toutes ses affaires avec lui. En me voyant il vient dans ma direction, moi je n'ai pas encore choisi ma place, je suis habillé et j'ai mon sac sur le dos. On se croise, son regard se porte sur mon entrejambe, et il sort sa langue: le message a le mérite d'être clair. Je m'installe, je pose ma serviette et tout le bazar. Il continue de roder autour de moi avec son regard d'assoiffé de qu*ue, il est venu à la plage pour chercher quelque chose de précis et il l'aura. Il est à quatre mètres et il me regarde. Je suis nu sur ma serviette, son petit manège a le don de m'exciter, ma teub commence donc à gonfler. Je le regarde dans les yeux en souriant, et je touche ma teub. Il ne se fait pas prier, et vient s'occuper de moi, il br*nle ma teub cinq secondes puis il me s*ce. Sa bouche est chaude, je dois le freiner pour ne pas décharger de manière incontrôlée. Quatre à cinq personnes apercevront ce qu'il se passe en passant. Il aime la qu*ue, il ne s'occupera uniquement que de cela, ça tombe bien c'est justement ce que je voulais. Je lui fais sortir sa teub pour que je vois également son matos de jeune mec aux yeux bleus. Je sens que ça va venir, je me mets à genoux sur ma serviette, il me br*nle, me s*ce, et me br*nle de nouveau jusqu'à ce que crache ma semence, il en fera de même et crache sa purée par terre. Il s'essuie les mains dans les herbes, me dit "A+" et s'en va. Quel coquin ce mec. Moi mes quinze premières minutes de plages ont été rentables, et je n'aurais pas à aller à la chasse aujourd'hui, ça tombe bien il n'y a pas grand monde, je vais pouvoir me reposer sur ma serviette, mais je ne resterais qu'une heure et demi.